CHARLY ET MARYNE

CHARLY ET MARYNE

Les Fées +les sorcières

Les Fées

Au sommet de la hiérarchie des personnages merveilleux...

Les fées peuplent le monde depuis longtemps. Leur nom vient du latin fata, nom données au déesses qui se penchaient sur le berceau des nouveaux nés et qui déterminaient leur destin. Les théories concernant leur existence sont nombreuses.

On pense qu'elles seraient soit des âmes d'enfants non baptisés, soit les fantômes de nos ancêtres, soit des anges déchus condamnés à rester sur terre, soit des esprits de la nature, soit de petits êtres humains. On accusait jadis les fées de voler les bébés des mortels et les échanger contre des bébés non humains.

 

Nous connaissons les fées pour en avoir entendu parler tout au long de notre enfance. En effet qui ne connait la fée des étoiles, la fée de la belle au bois dormant.....la fée clochette.... Et qui n'a jamais entendu parler des contes de fées, ces histoires où de gentilles fées viennent réconpenser les enfants sages d'un coup de baguette magique? Le monde de Féérie, c'est tout cela et beaucoup plus...


Les fées ne sont pas toutes de jolies créatures ailées mesurant à peine quelques cm. Elles apparaissent sous plusieurs formes et il est difficile d'en faire la description. mais elles prennent le plus souvent une apparancefantastique ,majestueuse d'une grande beauté ou d'une atroce laideur. Généralement elles peuvent prendre l'apparance qu'elles désirent....
Les fées habitent un royaume appellé Féérie. cet endroit demeure un mystère, . Avalon est probablement l'île féérique la plus connue, puisqu'une partie de la légende du roi Arthur s'y deroulé. On raconte d'ailleurs que ce dernier y aurait été soignée par sa demi- soeur Morgane......
En fait, le royaume de Féérie se trouve partout où il y ades arbres, des fleurs, des lacs et des rivières. Il peut donc vous apparaître à tout moment, pour autant que vous ayez la foi et que vous gardiez l'oeil ouvert.

 

 

Melusine

. Née des amours de Merlin et Viviane, elle épousa, un comte fou amoureux d elle. Mélusine lui donna huit fils, tous d'une etrange laideur!!mélusine demanda a son comte de mari de ne jamais essayer a la voir nue. Mais un jour il découvrit le secret de sa femme :Melusine si belle avait une queue de poisson!, Elle s'échappa du château par la fenêtre et personne ne la revit. On dit d'elle qu'elle apparaît sur les tours du château, à la tombée du jour, vêtue d'une robe , accompagnée de biches et de cerfs

Morgane

une humaine a l'esprit féerique
Fée de l'Ile d'avalon, nièce de viviane. Elle la élevée a avalon dans la tradition des Prétrèsses de l'Isle... demi- soeur d' arthur, elle possédait des dons extraordinaires de guérisseuse.elle appartient également à la mythologie celtique, Morgane est tres controversé.. son pouvoir envoutant se partageant entre le bien et le mal.

 

La fée Clochette

La fée clochette ,revue et mise en scène par les studios Disney est une petite fée toute ronde aux formes genereuses! Cette petite fée a des traits de caractère très particuliers souvent amoureuse d'un humain, ... elle est tres tres jalouse! elle ne supporte pas que celui-ci porte son regard sur une jolie fémme et encore moins qu'il s'y interresse

Les Ondines

Les Ondines originaire du Pays de Galles. appelées aussi Fées des eaux, aiment séduire les hommes. Elles surgissent des eaux lorsqu'un homme s'en approche et réussissent à les envouter grâce à leur beauté. Il est fréquent qu'une Ondine finisse par épouser un humain et lui donne une descendance.

Les amitiers

la plupart des Fées aiment beaucoup les petits humains. Elles ne son visible que pour les enfants... l'adute ne peux les voirs.

Les Amitiés aident les enfants à surmonter leurs difficultés.

Boon

Boon protège les enfants des cauchemars. Ille accompagne les gens, de la naissance jusqu'à la mort, leur donnant dans leurs songes des conseils ou des avertissements

La Dame des forêts

Elle vie tout au sommet des arbres. D'une grande sagesse, elle connaît tout les secrets, soufflés par le vent. La Dame des forêts et la Fée du mystère et de la fertilité. Elle séduit les hommes, qu'elle entraîne au beau milieu de la forêt, pour s'enfuir, les laissant seuls et égarés.

Viviane

la pretresse a la vision Féerique

Fée des légendes celtes, magicienne dotée de pouvoirs merveilleux, dont Merlin tomba amoureux. grande Pretresse d'Avalon on l'appela aussi la dame du lac.

Pour la plupart d'entre nous, les Fées sont des personnages effrontés, malicieux ,mysterieux, voir envoutants,mais parfois menaçants . Elles se penchaient sur le berceau des bambins pour les combler de dons , c'etait la tradition. Les fées sont bénéfiques aux hommes mais certaines histoires montrent que les fées enlevaient les plus jolis bébés dans leur berceau pour les remplacer par des bébés laids ! les Fées,sont elles de douces creatures ou des personages machiavéliques? tout reste à prouver. Le mysthère des fées reste entier avec la fascination qui l'accompagne,mais pour y croire et les voir ne faut il pas toujours garder ces yeux d'enfants?


 

les sorcières

Vers le milieu du XVe siècle, en Occident, on brûle des femmes. L'on dit que les sorcières sont les fiancées du diable,  qu'elles vont au Sabbat, jettent des sorts, sèment maladie et mort... Pendant deux siècles des milliers d'entre elles sont traquées, dénoncées, torturées et brûlées. Ce n'est qu'à la fin du XVIIe siècle que les bûchers s'éteignent peu à peu.



Comment est née la sorcellerie ?

 

 

Les premiers procès pour sorcellerie sont apparus vers 1460 dans le comté d'Arras. A cette époque de nombreux notables et personnes respectables sont accusés de sorcellerie, après avoir été dénoncés par d'autres suspects. Cette vague d'arrestations a porté à la connaissance des citoyens de nouvelles pratiques religieuses. En effet, dans un contexte religieux troublé, les croyants délaissaient la Chrétienté pour se tourner vers d'autres formes de religions. Le terme hérétique couvrait alors toutes les formes religieuses non catholiques. Effrayés par ces nouvelles pratiques, souvent associées au Satanisme, les Chrétiens leur ont imputé tous leurs malheurs, de la peste à la famine en passant par les tempêtes...

 

Les hérétiques étaient accusés d'adorer le Diable lors de Sabbats, Au cours de messes noires, ils crachaient sur la Croix, signe qu'ils exécraient Dieu la Vierge et la Trinité. Le mythe de la sorcellerie part de là, et les hérétiques, torturés par les inquisiteurs, finissent par avouer qu'ils sont responsables des épidémies, tempêtes, famine et autres désastres naturels. De ces aveux invraisemblables est née la légende des sorcières, qui furent pourchassées durant tout le Moyen-Age. L'idéologie d'un combat du bien (Dieu) contre le mal (Satan) s'installe et persiste même dans notre époque moderne.

 

Vers la fin du XVe siècle apparaissent les premières théories démonologiques. L'inquisition commence... Le Canon episcopi, écrit par l'archevêque de Trèves au Xe siècle décrit les "femmes de la nuit", adoratrices de Diane, la "déesse des sorcières". C'est le premier écrit à donner aux sorcières l'image de la femme qui s'envole la nuit, à cheval sur un balai ou un animal.

La bulle Summis desiderantes affectibus du Pape Innocent VIII propose une description théorique de la sorcellerie dès 1484, on la reconnaît également comme la charte de la chasse aux sorcières.

 

Avec l'arrivée de l'imprimerie, les traités de démonologie se répandent à travers l'Europe et les inculpations se multiplient

La chasse aux Sorcières

 

 

La répression de la sorcellerie au XVe siècle a fonctionné par vagues successives, au gré des épidémies de peste dont on accusait les sorcières. Si au début de la chasse aux sorcières, seuls les tribunaux inquisitoriaux pouvaient condamner, les compétences se sont rapidement étendues aux tribunaux civils, plus sévères et cruels, laissant libre cours aux accusations les plus folles souvent basées sur des querelles de voisinage.

 

La cruauté des tribunaux s'appuyait sur le fait que les sorcier(e)s, en plus d'être dangereux, commettaient des délits religieux en épousant la cause du diable, et ce en toute conscience. Pour éviter qu'ils se répandent, il fallait leur imposer un châtiment exemplaire, considéré comme une condamnation pédagogique... Si l'accusé avouait ses crimes, il était condamné au bûcher. Si il exprimait du remords, il avait la "chance" d'être pendu avant. Mais si il persistait à nier, on considérait qu'il était conseillé par le diable et les juges restaient inflexibles. En de rares cas de doute, on condamnait à l'exil.

 

Les victimes furent nombreuses, mais on s'est rendu compte qu'elles l'étaient bien moins qu'on ne l'aurait pensé. Si le XVIIe siècle ne vécut pas à l'ombre des bûchers, le phénomène a suffisamment marqué les esprits pour largement exagérer le nombre des exécutions.

 

Les personnes les plus suspectées de sorcellerie étaient les femmes, vieilles ou isolées, et en général pauvres. En effet, jusqu'au XVIIe siècle, la femme faisait peur. Les médecins en connaissaient très peu le métabolisme, les théologiens les voyaient comme des êtres inconstants à garder sous perpétuelle surveillance, sous tutelle du père ou du mari, elles ne devenaient un tant soit peu autonomes qu'une fois veuves, autonomie alors souvent assortie d'isolation. On les soupçonne alors de vouloir se venger de leur sort. Une femme soupçonnée de sorcellerie était rarement acquittée : chacune de ses réponses confirmait l'accusation.

 

Les connaissances insuffisantes en médecine, le caractère mystérieux des maladies laisse la porte grande ouverte pour toutes sortes de croyances, y compris la sorcellerie, rendue responsable de tous les maux. Ce n'est que vers le XVIIe siècle que des médecins parisiens commencent à mettre ces croyances en doute.

 

Mais ces superstitions faisaient vivre bon nombre de charlatans. Certaines personnes sillonnaient les villages en prétendant pouvoir déceler les suppôts de Satan dans la communauté. Ils lançaient des vagues d'accusation, semaient la panique et quittaient l'endroit. La population exerçait alors bien souvent une justice bien plus expéditive que les tribunaux : le lynchage.

 

Les moyens de reconnaître les sorciers étaient multiples : on pouvait lire dans les pupilles la marque du diable, ou reconnaître la marque du diable, infime partie insensible du corps, au moyen d'aiguilles. On jetait également le suspect à l'eau, lesté d'une pierre. S'il flottait, c'était un sorcier. S'il coulait, il était innocent, mais souvent noyé... On pensait également que les sorciers étaient plus légers qu'ils n'y paraissaient, ou qu'ils ne pouvaient verser de larmes.

 

Lors de la procédure inquisitoriale, c'est le juge qui avait le rôle le plus important. L'accusé quant à lui, devait prouver son innocence. Suite à une dénonciation, même anonyme, le juge décidait s'il devait mener une enquête ou non. L'identité de l'accusateur était tenue secrète et les charges du procès reposaient sur l'accusé, déjà presque inculpé. Le juge n'avait en tête que d'extorquer les aveux de l'accusé, déjà convaincu de sa culpabilité. Coupés du monde ils ne savaient souvent même pas de quoi on les accusait. Les avocats n'étaient pas d'une grande aide, car craignant pour leur vie, il incitaient leurs clients à avouer. Si l'interrogatoire ne suffisait pas, on soumettait les accusés à la question. L'imagination en terme de torture ne semblait pas avoir de limites. A bout de forces, ils finissaient presque toujours pas avouer.


Sorcellerie ou magie ?

 

 

Si en Europe du Nord et dans les régions catholiques à proximité des régions réformées, la sorcellerie était bien considérée comme un acte démoniaque, dans les pays méditerranéens, les jeteurs de sorts n'étaient pas assimilés aux hérétiques. Magiciens, astrologues, alchimistes ou devins ne furent pas inquiétés par les chasses aux sorcières.

 

Les inquisiteurs n'étaient tout bonnement pas convaincus qu'il s'agissait bien des vrais sorciers tels que décrits dans leurs manuels. Ces pratiques, souvent issues de coutumes culturelles locales n'avaient aucun rapport avec la sorcellerie démoniaque. Elles furent assimilées aux pratiques criminelles courantes et il n'y eut pas de bûchers.

 

La magie cérémonielle avait pour but d'obtenir des avantages immédiats (amour, richesse, santé...) aussi bien que de lire l'avenir.

A cette époque cohabitaient la magie savante, basée sur des textes, pratiquée par les érudits dans le but de s'attirer les bonnes grâces des esprits, de découvrir des trésors ou de se protéger des agressions, et la magie populaire, basée sur la tradition orale. Elle était principalement pratiquées par les femmes du peuple, le plus souvent analphabètes. Leurs recettes se transmettaient de bouche à oreille, de mère en fille, et permettaient de soigner les maladies des femmes et des enfants, souvent éloignés des médecins ; mais aussi de désenvoûter ou d'éloigner le mauvais oeil.

 

Les sorcières qui pratiquaient cette magie, tant savante que populaire, étaient accusées de jeter des sorts, en effet, si elles connaissaient les secrets de la guérison, elles devaient également connaître les secrets pour nuire !!!! Ainsi, elles étaient craintes et respectées.

 

Il n'y eut qu'en France où toutes les croyances magiques furent assimilées à la sorcellerie démoniaque et où ces pratiques, autant populaires que savantes, furent condamnées.

Les sorcières et les chats

 

Il existe une légende qui dit qu'avant la création du monde, il existait une déesse de l'obscurité qui s'appelait Diane.  Diane aima Lucifer, qui possédait un chat. Diane et Lucifer eurent une fille : Aradia. Plus tard Aradia fut envoyée par son père sur terre, en compagnie de son chat, afin d'enseigner aux hommes la magie noire. Ainsi se fit la relation entre les sorcières et les chats.

En 1230, toute personne recueillant un chat noir risquait le bûcher ! Sauf si le chat avait sous le menton une petite touffe de poils blancs, appelait " marque de l'ange ".

Quoiqu'il en soit, le chat noir ne laisse pas indifférent, même encore de nos jours, certains l'adorent et d'autres en ont peur ! L'ancestral croyance sans doute qui l'associait aux sorcières, qui faisait de lui la réincarnation du diable ! Une autre croyance disait qu'une sorcière pouvait se transformer en chat, mais cette transformation ne pouvait avoir lieu que 9 fois ! Voilà la raison pour laquelle l'on attribue 9 vies aux chats !

 

Oui ! même encore aujourd'hui, pour certains croiser un chat noir reste une crainte, une superstition ! Comme de passer sous une échelle ou renverser du sel à table. Pour ma part, je ne suis pas superstitieuse et encore bien moins concernant les chats noirs que j'adore au même titre que tous les autres chats.

Quant aux sorcières ! Existent-elles encore ? Qui sont-elles ? Où vivent-elles ?

 

Allez savoir ...

 



15/05/2007
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